Ode à Ophélie
Sous le ciel d'azur, sur la plage éternelle,
Ophélie danse, déesse sensuelle.
Sur l'île de La Réunion, sable noir en témoigne,
Son corps divin, un pays de cocagne.
Cheveux bruns, longs rubans de la nuit,
Caressant ses épaules, éternel récit.
Dans le noir du sable, elle se perd,
Ophélie, déesse de l'océan, mystère.
Les grains glissent entre ses doigts fins,
Comme des perles noires, un trésor divin.
Son corps, une sculpture à la lueur du jour,
Parfaites proportions, éloge de l'amour.
Nuances de beauté sur ce sol de lave,
Son regard, une toile que la mer enclave.
Ses cheveux ébènes libérés,
S'étendent comme des ailes de liberté.
Son corps, une symphonie dans le vent,
Ophélie, poésie vivante, éclairant l'instant.
Dans le noir profond du sable, elle écrit,
De son corps un tableau éphémère où tout s'unit.
Sous le voile des cieux, étoiles en témoins,
La mer murmure des secrets anciens.
Ophélie, parure de la nature,
Éternelle étreinte, sublime peinture.
Dans le sable noir, des traces éphémères,
Comme les vers d'un poème, éternels mystères.
Elle danse, elle chante, elle rit,
Ophélie, la muse, sur cette plage endormie.
Model: Ophelie
